Le jeu vidéo peut-il nous donner envie de lire ?

Hello hello hello !


Aujourd’hui sur le blog je souhaite aborder un sujet qui me tient à cœur : celui du lien entre la lecture
et le jeu vidéo.

L’inspiration de ma tribune du jour est cet article paru sur France Info : Emmanuel Macron fait de la lecture une « grande cause nationale » !

Tu pourras apporter tes remarques ou ton avis sur le sujet en commentaire de ce post, tu es libre de
t’exprimer, dans le respect de chacun, cela va de soi.

Je joue depuis très jeune, et pour moi, la lecture va de pair avec le jeu vidéo. Enfant précoce (non
diagnostiquée), j’ai appris à lire alors que je n’étais qu’en maternelle, et j’ai rapidement pris goût à
me plonger dans des univers différents, la lecture étant pour moi un refuge pour m’évader d’un
quotidien qui n’était pas toujours facile.


Je parcourais des ouvrages variés, aussi bien des encyclopédies que des romans aux histoires et
personnages divers.


Lorsque j’ai découvert le jeu vidéo, j’ai pris plaisir à voir ce côté évasion qui me plaisait dans la
lecture, et les nombreuses lignes de dialogue qui accompagnaient ma première expérience
vidéoludique qu’était Alex Kidd in Miracle World (jeu auquel je consacre un article ici même : Un oeil dans le retro : Alex Kidd in miracle world).

Ces « pavés » de texte étaient uniquement disponibles en anglais, et chez moi, personne ne parlait
un seul mot de la langue de Shakespeare. Je dus donc me documenter pour tenter de comprendre ce
que m’indiquaient les personnages que je rencontrais au fil de mon aventure. J’ai entrepris de
traduire ces textes et j’ai ainsi mieux compris le contexte de l’aventure et des lieux que je traversais
au fil du jeu.


Au fur et à mesure que je découvrais le jeu vidéo, je me suis rapidement rendue compte de mon
affect pour les jeux narratifs, qui racontent une histoire dans laquelle nous joueurs pouvons
interférer. Ce qui n’est pas sans rappeler (pour une certaine génération d’entre nous) Les livres dont
vous êtes le héros
. Pour les plus jeunes qui me liraient, c’est une autre manière de découvrir la
lecture, et se sentir plongé.e dans une aventure unique, puisque chaque lecteur(trice) vivra
l’expérience différemment.

Petit florilège de titres disponibles – photo non personnelle


Les jeux narratifs, selon moi, incitent à lire, d’une part chaque élément de l’intrigue est important, mais il est
essentiel de bien explorer ce qui nous entoure, car chaque détail compte (un objet, une musique…)
certains paraissant insignifiants nous aident à mieux comprendre ce qui nous attend. Les différents
choix possibles nous captivant et rendant ainsi l’aventure vécue très personnelle.


Je prendrai pour exemple Detroit : Become Human de Quantic Dream (disclamer : je ne cautionne en
aucun cas ce qui se passe dans le studio et je ne parlerai ici que du jeu mentionné). David Cage,
directeur du studio et scénariste, évoquait non moins de 2 000 pages de préparation pour l’intrigue
de ce jeu qui nous pose la question de la place des robots dans notre société actuelle et dans un
avenir proche. Certains choix proposés sont cruciaux pour la suite des événements quand d’autres se
révèlent irréversibles dans notre partie en cours. De nombreuses fins sont ainsi possibles en fonction
de nos sélections.

Comment ne pas parler également de ma licence de cœur, à savoir Life is Strange du studio Dontnod. Dans cette aventure, le.la joueur.se est confronté à quelques situations délicates, celles-ci pouvant nous toucher de l’intérieur, rappelant pour certaines personnes d’entre nous à des moments que nous avons vécus, de près ou de loin et touchant ainsi à nos émotions. Je ne dévoilerai rien de l’intrigue, mais un certain passage marquant va bouleverser votre expérience…


Dernier exemple avec Accross the grooves de Nova-Box (dont je parle ici : Mon ressenti sur : Accross the grooves) où Alice, protagoniste, effectue un voyage musical au travers de destinations variées avec des rencontres qui
vont évoluer au fil de l’histoire. Certains choix vont influer sur le déroulement du jeu et ainsi nous
faire découvrir différemment les personnages clés de ce roman graphique interactif.

Les exemples sont nombreux, et dans d’autres genres de jeux. Les lister tous serait trop long mais je
pense notamment aux RPG qui voient des personnages évoluer dans des univers sur lesquels ils
interagissent de manière plus ou moins importante.

Pour moi, lorsque l’on me dit que la lecture n’a plus sa place dans nos quotidiens, je pense que nous
devrions prendre davantage le temps de nous poser au calme, et savourer de précieux moments
plongés dans des aventures diverses et variées, pour nous évader et cultiver notre imagination.


Que ce soient des romans, nouvelles, bandes dessinées ou même des articles variés. L’éventail de
choix est tellement vaste que chacun(e) y trouvera rapidement son compte 😉

Et toi, qu’en penses-tu ?

C’est dans les commentaires que je t’invite à me répondre, que tu sois ou
non en accord avec mes arguments. Echangeons en toute sérénité et dans le respect mutuel.

Merci pour ta lecture de ma tribune !

Reconfinement ? Ou presque.

Hello toi !

J’espère que tout va bien en cette fin de semaine. Nous sommes (déjà) une semaine après la mise en place d’un reconfinement pour tenter de limiter le nombre de personnes contaminées par la COVID 19.

Sortez couverts, sortez masqués les ami.e.s

Or, pour moi, ce reconfinement n’en est pas réellement un, et je vais donner mon ressenti personnel. Nous pourrons échanger, dans le respect de chacun.e dans l’espace commentaire. Tout point de vue est bon à prendre et un échange permet, selon moi, d’élargir sa pensée, et son champ de vision.

Nous sommes donc début novembre de cette année 2020. Une année particulière pour chacun.e d’entre nous, qui n’a pas été des plus faciles. Cette pandémie mondiale a changé nos modes de vie, nos habitudes, nos relations sociales, nos comportements, nos environnements…

J’en viendrais presque à dire, qu’il y aura un avant et un après crise sanitaire. Nous ne sortirons pas indemnes de cette longue période délicate et il faudra, je pense, un long moment pour que nous nous remettions sur un chemin de quasi « normalité ». Rien ne sera plus comme avant.

Je pense évidemment à toutes les victimes, (et leurs proches) directement atteintes ou décédées des suites de complications liées à ce virus, qui, sera parmi nous encore un certain temps, celui de trouver des vaccins et que ceux-ci soient accessible au plus grand nombre d’entre nous.

Je pense aussi aux personnes qui ont réussi à sortir la tête de l’eau mais qui vivent avec des séquelles suite à leur contamination, on en parle encore trop peu dans les médias à mon goût et il ne faut pas oublier ces personnes dont le quotidien a été bouleversé.

Revenons à mon sujet de départ, ce reconfinement !! Une vaste blague selon moi. Je suis pour cette initiative, qui a une bonne finalité, mais c’est dans la pratique que cela m’agace. Pour ce qu’il en est du personnel hospitalier, qui a tout mon respect, je peux comprendre, le corps enseignant/les personnels de l’Education Nationale également. Je dois dire que étant actuellement en replacement dans un lycée, la mise en place des nouveaux protocoles demande une sacrée organisation et l’adaptation demande un peu de temps à tout le monde, élèves et personnels. Il en est de même pour les artisans, les personnes travaillant dans le secteur agroalimentaire… la liste des personnes concernées est bien longue.

Le gouvernement a incité au télétravail, lorsque cela est possible mais il est fortement recommandé. OK. Lorsque je suis allée travailler lundi, je n’ai pas eu l’impression d’être en reconfinement vu les nombreuses personnes dehors et la circulation quelque peu dense pour ce lundi de reprise post-vacances de la Toussaint.

Ce côté contradictoire entre la préservation de la santé publique et l’envie de limiter la casse économiquement parlant. Autant dire que cela n’est pas vraiment clair et tout le monde y perd un peu son latin…

Quant au sujet des petits commerces non essentiels, là aussi, je ris jaune quand je vois que ce sont dans les petites boutiques (j’entends par là par opposition aux grandes et moyennes surfaces, et non par jugement sur la taille des lieux), que les gestes barrière sont les mieux respectés. L’effet de masse est bien moins présent que dans les grandes surfaces. Je ne comprends donc pas. Cette notion de non essentiels aura une interprétation selon les uns ou les autres, sans vouloir entrer dans un discours rallongé, je pense que l’accès à la culture est important, car source de divertissement. De plus, nous arrivons bientôt en hiver et c’est une période où les activités intérieures sont de rigueur. Patientons un peu…

Pour conclure, je dirais que nous sommes loin de voir la sortie du tunnel et qu’avec de la solidarité, entre amis, dans nos familles, avec nos collègues, proches ou même des inconnus, la situation sera plus supportable. Je vous souhaite à toutes et tous un bon courage dans cette période qui augure, je l’espère, des jours meilleurs. Nos retrouvailles avec nos proches n’en seront que meilleures.

L’espace des commentaires est ouvert, à toutes et tous, pour me répondre, ou tout simplement échanger. Je demanderais juste de rester courtois.e et de respecter les propos de chacun.e. Mes réseaux sociaux sont aussi ouverts pour discuter si besoin, je réponds quand je le peux, avec grand plaisir.

Je te souhaite une agréable soirée et un très bon weekend. Reste prudent.

Vidéastes et blogueurs, meilleurs amis ou ennemis ?

Hello toi !!

Aujourd’hui je viens avec un sujet quelque peu complexe à aborder sur mon blog, puisqu’il s’agit de la possible rivalité entre vidéastes et blogueurs pour donner mon point de vue sur cette question sensible.

Pour aller plus loin : https://raneydaydesign.com/video-content-vs-written-content/ (image issu de l’article cité)

Pour commencer, quelques petits détails !

Un vidéaste, quel qu’il soit, commence la préparation de son contenu par un script qui décrit les idées qu’il souhaite développer tout au long de sa vidéo, ainsi que les extraits pour illustrer ces propos et les rendre ainsi plus agréables à regarder et apporter ainsi plus de dynamisme à son contenu.

Ce même travail de préparation peut prendre de quelques heures (ou moins), jusqu’à quelques jours, avec parfois beaucoup de lectures0 ou de visionnage de contenus vidéo déjà existants.

Tout ceci pour ensuite élaborer son contenu dont la durée de montage varie selon la complexité des éléments à insérer dans cette même vidéo. Le rendu étant l’étape ultime de son travail.

La plupart du temps, ces mêmes vidéos sont d’une durée relativement courte, notre attention commençant à se dissiper au bout de 20 minutes de programme… Il convient donc d’attirer le spectateur dès les premiers instants de vidéo pour le captiver ! Il en est de même pour le fidéliser, via l’abonnement, le pouce bleu, le partage de la vidéo et la rédaction d’un commentaire (quoique… pour ce dernier élément, il n’est pas nécessaire d’être un aficionado de la chaîne en question…)

Pour être vidéaste (amateur, je précise) sur Youtube, avec une précédente expérience qui demandait beaucoup de temps de préparation : entre la recherche de sujets, prévenir mes invités et organiser les enregistrements, vérifier que tout a bien fonctionné (il m’est arrivé un sacré bug m’obligeant à tout réenregistrer, ce qui a fait que j’ai eu 2 contenus complètement différents, puisqu’il s’agissait de débats) monter, et ensuite uploader sa vidéo sur Youtube, préparer le détail de sa vidéo… jusqu’à la publication sur la chaîne !! Un sacré boulot, crois en mon expérience !!

Pour ce qu’il en est de ma chaîne actuelle, je travaille en collaboration avec ODH Productions (lien vers ma page partenaires, où tu pourras la retrouver), ce qui permet à cette entreprise de fonctionner et aussi apporter une touche plus professionnelle à mes contenus !

Passons maintenant au blog !!

Comme tu le sais (si tu es ici… c’est bien que !!) je tiens ce blog depuis fin août dernier, mais je n’en suis pas à mon premier lieu de partage de contenus écrits, puisque j’arrive bientôt à ma 5ème (déjà ?) année de blogage (blogging si tu préfères) au travers de mes différents blogs que tu pourras retrouver dans sur la page Mon Aventure Blog !

Pour un article de blog, chacun procède d’une manière différente, je vais donc t’expliquer ma méthode de travail ! Bien souvent, je pars d’une idée manuscrite (je suis toujours amatrice d’écrire à la main, cela se perd, à mon grand désespoir) aux côtés de laquelle j’agglutine quelques (parfois un peu trop) post it avec ce que je souhaite aborder sous ce même thème.

Pour d’autres articles, consécutifs à des déplacements, je me base sur les quelques notes prises et je me lance directement en rédaction, pour les visites de salons, je prends pour base les plans des lieux (dur de ne pas se mélanger entre toutes les visites !!) et ensuite je compose.

Je ne vais pas te révéler tous mes secrets de rédaction mais ce que je souhaitais exprimer ici, c’est qu’un vidéaste a de la matière avec de la vidéo, tandis qu’un blogueur a un écran vierge devant les yeux, et est lui aussi amené à effectuer de longues recherches pour certains contenus élaborés, et je ne te parle pas du tri de photos requis pour composer d’autres écrits !

J’avoue que j’ai tendance à écrire des articles d’une longueur conséquente, mais mon blog est pour moi un moyen d’expression qui a beaucoup de place dans mon quotidien et je ne peux me permettre de proposer des posts de blog écrits rapidement (dans le sens à l’arrache) ou qui ne correspondraient pas à ce que je souhaite écrire. Certains articles me demandent du temps à écrire car ils restent souvent à l’état de brouillon et c’est lorsque je prends le temps de m’en occuper que j’avance dessus…

Pour conclure cet article, pour ma part, les 2 media sont complémentaires, chacun apportant des informations parfois similaires, mais les points de vue dépendent de leur auteur, donc véritablement subjectifs, à moins de ne voir que des vidéos similaires (ce qui pour ma part m’est déjà arrivé et ce n’est pas agréable du tout !).

La vidéo est plus spontanée quand un article peut être lu à tout moment, et ce, même plusieurs mois après leur parution. Une vidéo, 48 heures après sa mise en ligne passe très souvent au second plan, et oubliée. A moins que son auteur ne la remette en avant.

Je regarde plus des chaînes traitant de sujets tels que la high tech car pour moi pour se rendre compte d’un produit, cela est plus facile en vidéo qu’en se basant simplement sur des photos. Je suis aussi amatrice de contenus liés au modding, ou comment détourner un jeu vidéo pour réaliser des créations parfois impressionnantes !

J’apprécie une variété de contenus que je ne pourrai tous les citer, mais je retrouve aussi bien sur les blogs que des chaînes Youtube des possibilités d’accéder aux informations que je recherche, et il m’arrive de comparer ces mêmes contenus.

Nous sommes tous libres d’apprécier ou non ce qui nous est proposé, je demanderai juste à chacun de respecter le travail de l’autre.

Et toi, quel est ton avis sur le sujet ??

Merci pour ta lecture et à bientôt sur le blog 😉

Et si en 2020 on arrêtait de prendre des résolutions ?

Hello toi !

Nous y sommes ! 2020 a ouvert ses portes depuis quelques semaines !! J’espère que tu as bien commencé cette nouvelle année !

Aujourd’hui, un thème qui revient à chaque début d’année : celui des fameuses résolutions de début d’année… tu sais, avec cette éternelle question à laquelle soit tu réponds directement, soit un blanc s’installe ou alors tu réponds que tu prends un petit temps de réflexion pour avoir les idées claires !

On prend une bonne boisson et sa page blanche et un bon stylo… et une sacrée dose de patience !! Ou pas !!

A cette question que je trouve dépassée, j’ai tendance à répondre que j’ai choisi la 4K (bientôt la 8K) !

Je place une vidéo ici expliquant la différence 4K/Ultra HD pour mes lecteurs non technophiles 🙂 merci PP Garcia !

J’ai bien souvent des yeux tantôt ébahis (pour ceux qui ne savent pas ce que c’est) ou alors rieurs en me disant « oh toi, tu as osé ! »

Oui, pour moi prendre des engagements en début d’année, pour les tenir quelques jours, au mieux quelques semaines, je n’y vois aucun intérêt. Bien sûr, ce n’est que mon point de vue. Je préfère de loin me donner des objectifs ou challenges divers, et encore, parfois ils viennent spontanément, ce qui leur donne une valeur encore plus importante à mes yeux.

Je ne me suis pas encore fixé d’objectifs pour cette nouvelle année, cela viendra au gré de mes envies et découvertes. Certaines envies resteront du domaine privé quand d’autres seront partagées tout au long des mois qui nous attendent !!

Pourquoi ce choix ? J’entends bien souvent des phrases comme « J’arrête de fumer » ou « Je me mettrai au sport ! » ou bien encore « Je prendrai davantage soin de moi ! »

Des propos tenus bien souvent en fin de soirée (plutôt début de matinée, si tu me comprends…) et ils finissent dans des abysses profondes, là où s’accumulent tellement de choses ou autres promesses non tenues… autant te dire que quand ces personnes prennent un abonnement en salle de sport (attention, je ne critique pas TOUS les pratiquants, mais bel et bien ceux qui le font suite à ces « bonnes » résolutions) qui coûtent bien souvent une fortune, alors que d’autres pratiques sportives accessibles sont bien moins onéreuses… pour le reste, tout dépend de la motivation de chacun.

Pour le moment, j’ai quelques challenges qui m’attendent, des déplacements sur des conventions et événements à organiser, préparer et mettre en place. J’ai aussi des projets, plus ou moins personnels que je souhaite réaliser… Tout comme l’envie de proposer de nouveaux contenus sur mon blog et sur ma chaîne Youtube. J’aimerais reprendre certaines activités que j’avais abandonnées par manque de temps, d’énergie… je compte remédier à tout cela, au fil des semaines qui arrivent !! J’ai tout mon temps.

Le rythme de parution de mes articles dépendra de ce temps libre, et de ces mêmes envies. Rassure toi, tu auras toujours de la lecture à disposition !!

Et toi ? Es-tu #TeamRésolutions ou #TeamChallenges ou bien encore les 2 (ce n’est pas du tout incompatible !!)

Je te souhaite tout de même une bien belle année, remplie de belles choses !!

A bientôt dans mes Carnets 😉

Rumeurs et leaks : les partager, une fausse bonne idée ?

Hello toi !

Ce matin, une tribune/réflexion sur un thème que je ne pensais pas aborder aussi tôt sur le blog, mais au vu d’événements récents, je ne pouvais réagir à ce que j’ai pu voir et entendre…

J’écris cet article le mardi 17 décembre, au matin, au lendemain de la découverte, une nouvelle fois, de rumeurs concernant la sortie prochaine d’une console attendue, mais aussi de leaks concernant un film très attendu. Je ne mentionnerai personne dans cet article pour ne pas m’attirer les foudres des différentes communautés qui sont concernées.

Hier lundi, après une journée plus ou moins stressante, début de semaine oblige, avec mes activités et autres obligations, je lis des démentis concernant une actualité diffusée plus tôt dans la journée, qui a occasionné de nombreuses réactions et créations de contenus liés.

En même temps, j’apprenais que certains probables passages d’un film auraient été divulgués, ce qui a provoqué ici encore de nombreuses réactions de stupéfaction.

L’avis donné ici est le mien. Tu as le droit de ne pas être d’accord avec mes propos, ce qui est tout à fait légitime. Je te demanderai de répondre avec courtoisie et respect aux lignes qui vont suivre.

Les rumeurs ont toujours existé, dans des domaines divers et variés, et les exemples sont nombreux et j’ai choisi de ne pas prendre de cas précis, d’une part parce que cela n’a aucun intérêt pour moi de les partager ici, mais aussi ce ne serait que contribuer à leur propagation. Tout ce que je vais critiquer. Un peu paradoxal pour le coup, non ?

Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, quelques années pour Facebook, et 6 ans sur Twitter, c’est vous dire si mon expérience n’est pas nouvelle, je constate que le phénomène prend une ampleur sans commune mesure. Ces media qui pour moi étaient un moyen de rester informée des événements en temps réel (ou légèrement différé du fait de mes connexions espacées) et également un moyen d’échanger avec mes amis ou des inconnus, sur ces sujets d’actualité, avec plus ou moins de véhémence.

J’observe à quel point il est facile de diffuser des informations erronées, issues de sources plus ou moins douteuses, ou parfois qui ne sont pas du tout confirmées ou vérifiées. Inquiétant, dans un monde où tout va (trop) vite et spontané. Alors qu’il y a quelques années de cela, on prenait le temps, de lire l’actualité sur un support papier, d’une périodicité variée, ce qui engendrait une attente plus qu’impressionnante de parcourir les différentes rubriques qui s’ouvraient à nos yeux et se répandait au fil des pages…

Aujourd’hui donc, une simple rumeur prend des proportions qui me paraissent juste hallucinantes. Et à la lecture des réponses à ces mêmes messages ou contenus autres (vidéos notamment), j’observe les mêmes réactions qui divisent ! Dans un contexte déjà tendu, quel en est l’intérêt ? Gagner en visibilité en faisant des vues, et donc engendrer des revenus ? Tout ceci me permet de me poser la question du but visé…

Certes, une des réponses évoquées sera de me dire, « bah oui, tu as peut-être raison, mais ne pas en parler serait dommage, on aurait aimé être au courant ! » Se dessine alors un air sceptique sur mon visage, et c’est le dépit qui s’empare de moi quelques instants. Je réfléchis un peu… quand je lis « probable rumeur » et l’utilisation du conditionnel dans chacune des phrases, me laisse à penser que tout n’est que question d’image, et ce de manière plus qu’éphémère alors que notre attention pourrait se focaliser d’autres actualités bien plus importantes, méritant un traitement égal sinon plus important. Ce qui me sidère quelque peu.

En bref, propager des rumeurs, juste dans le but d’être vu et de récolter un quelconque intérêt, très peu pour moi. Surtout s’il s’agit quelques heures après de démentir la dite information, parce que la source n’est soit pas fiable, soit elle n’a même pas été vérifiée. Triste et effarant.

Passons maintenant au cas épineux des leaks, que j’ai associé aux rumeurs dans mon article. Les 2 concepts se rejoignant, certains d’entre eux provenant de rumeurs (jusque ici tu me suis ?).

Ceux-ci existent eux aussi depuis longtemps, il ne m’était pas rare d’en entendre à la radio (j’ai grandi avec ce medium pour rester au courant de ce qu’il se passait depuis mon plus jeune âge… ce qui n’est plus trop le cas aujourd’hui, mais passons… cela pourrait être une idée de sujet à traiter !)

Tout comme les rumeurs, ils se propagent à vitesse grand V sur les réseaux. Et là aussi les réactions ne se font pas attendre. Combien de fois ai-je entendu/lu : « tu as vu l’info concernant (insère ici le sujet de ton choix) ? » Et ma réponse a été tantôt négative, tantôt un acquiescement en mode « oui, sans y prêter réellement attention ». Et lorsque ces sujets étaient confirmés, je ne cache pas avoir eu de petits rictus nerveux.

Comment peut-on se permettre de donner des informations avant que celles-ci ne soient officiellement annoncées ? Ici aussi, pour faire, à mon sens, le buzz. « Tu as vu, c’est moi le premier ! » est alors ma réaction sur le moment ou parfois a posteriori. A ce moment-là, j’attends, parfois longtemps, la confirmation et la concrétisation de ces annonces. Il m’est arrivé récemment de critiquer moi-même une réaction en direct (découverte bien après les faits, petite précision) que j’ai qualifiée d’excessive, étant donné la présence de ladite personne sur les réseaux sociaux.

La pratique est courante, ce qui m’amène à songer sur ma consommation des media, quels qu’ils soient. Je prends de plus en plus le temps de lire des blogs, écouter des podcasts, et ne regarde pas ces mêmes contenus qui ont un effet de buzz, ce que je faisais il y a encore quelques semaines.

Tout ceci dans une envie d’avoir accès à des informations un peu plus fiables, me permettant toutefois de douter devant ce que je lis et entends, ce qui est dommage, non ?

C’est ici que je conclus ma longue réflexion, je te remercie d’avoir pris le temps de me lire, et t’invite, si tu le souhaites, à me répondre sur ton avis sur la question dans la zone des commentaires ou sur les réseaux sociaux.

Toute remarque est bonne à prendre, à partir du moment où elle est construite.

A bientôt sur mes Carnets !

The Game Awards, ou comment avant même la cérémonie, les dés sont pipés !

Hello cher lecteur,

Une nouvelle Tribune pour bien commencer la semaine !

Mercredi 19 novembre dernier avait lieu l’annonce des nommés (dès que j’entends nominer en français, mes oreilles saignent…)

La vidéo d’annonce de ces nommés par Geoff Keighley himself est disponible ici

Vidéo disponible en anglais, à vérifier concernant les sous-titres en français…

C’est à la suite de ces annonces que ma déception a été plus que grande ! A Plague Tale: Innocence, du studio bordelais Asobo Studios n’a été nommé… qu’une seule fois, pour la narration ! Ce jeu est mon GOTY 2019 (oui, je sais, je t’entends d’ici me dire que je ne suis pas objective dans mes propos, mais c’est mon cœur de joueuse qui parle…) !

J’ai tellement apprécié ce jeu, pour sa narration certes, mais aussi pour sa direction artistique, sa bande originale (composée par Olivier Deriviere, mon compositeur fétiche dans l’univers vidéoludique, mais pas que…).

D’où vient ma déception ?

En découvrant la liste des nommés dans les différentes catégories (29 au total, ce qui promet une belle cérémonie…) ce qui m’a le plus surprise, ou plutôt choquée (et je pèse ici mes mots), est de voir apparaître Death Stranding, le nouveau jeu Kojima Productions du « Maître » du jeu vidéo Hideo Kojima. Rappelons aux lecteurs que ce jeu est sorti… le… 8 novembre ! Soit il y a moins de 3 semaines ! L’an dernier, le titre de GOTY était un duel entre Red Dead Redemption 2 (sorti le 26 octobre 2018 et God of War, disponible quant à lui le 20 avril de la même année). C’est God of War, des équipes de Cory Barlog qui a remporté le précieux titre ! Avec les déboires que l’on connaît pour Cory Barlog, c’est amplement mérité. Je n’ai pas joué au titre par manque de temps et n’étant pas plus que cela attirée par la licence, j’ai fait l’impasse… sans doute à tort !

Death Stranding se retrouve donc ainsi nommé 8 fois, ce qui me paraît conséquent compte tenu de sa sortie récente. Trop selon moi. Je lis ici ou là des avis qui sont (pour le moment du moins) tous ravis de voir ce jeu autant mentionné. J’ai aperçu quelques avis plus mitigés qui, comme moi, regrettent seulement l’apparition de 2 jeux français au tableau. Le second étant Life is Strange 2 du studio parisien DONTNOD Entertainement, un autre studio cher à mon cœur !

Voici donc un sujet qui risque de provoquer bien des débats houleux, je le pressens d’avance. Comment un jeu, qui est à peine sorti, peut concourir au titre de meilleur jeu de l’année, face à des titres qui ont mis plus de temps pour s’installer dans les mémoires des joueurs ?

Mon article risque de faire réagir certains d’entre vous, et il est bien sûr recommandé d’échanger avec respect des opinions de chacun.

Ce coup de gueule est surtout celui d’une joueuse passionnée par le jeu vidéo, et qui regarde au-delà des jeux « triple A » pour vivre de belles expériences de jeu, plus ou moins longues, mais non moins intenses au niveau des émotions ressenties.

Maintenant, c’est à toi de me dire dans les commentaires ce que tu penses de ces multiples mentions de Death Stranding dans la liste des nommés pour The Game Awards ?

Un article reviendra prochainement sur les choix que je vais effectuer pour cette cérémonie, qui, rappelons-le, aura lieu dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 décembre prochain.

Pour voter, un seul lieu : https://thegameawards.com/nominees

A très bientôt sur le blog… je suis partie réfléchir à mes votes !

Pourquoi j’ai décidé de ne plus regarder la TV ?

Hello toi !

Aujourd’hui, je viens te parler d’un sujet qui fait l’objet de nombreux débats autour de moi, et en y réfléchissant un peu, j’ai pensé que je pouvais m’exprimer sur la question sur un post de blog !

Tout comme de nombreuses personnes parmi nous, la télévision est entrée dans ma vie alors que j’étais très jeune. Je regardais des dessins animés (que ce soit avec le Club Dorothée ou d’autres programmes divers dont les noms m’échappent…) mais aussi des programmes éducatifs et enrichissants tels C’est pas sorcier ! grâce auxquels j’ai pu découvrir de nombreuses choses sous un angle ludique…

Comme chacun, j’ai grandi et évolué et le jeu vidéo est entré dans ma vie. Depuis lors, je ne regardais plus que très peu les programmes proposés, le plus souvent des films car je n’allais jamais au cinéma avec mes parents (ce qui explique aujourd’hui pourquoi ma filmographie de mes années jeunesse est aussi limitée) et un accès plus que limité à des contenus qui pouvaient nous être utiles.

Quand j’y songe, je passais déjà beaucoup plus de temps à jouer qu’à regarder les programmes. Avant de posséder ma première console de jeu, j’ai été alitée une longue période à cause de soucis de santé donc je n’avais pas grand chose pour m’occuper. J’ai découvert alors Hugo Délire, un programme 100% français où l’on devait appeler un numéro de téléphone pour participer à un jeu où le personnage se déplaçait de manière interactive en utilisant les touches du combiné du téléphone fixe ! Je n’ai pas eu la chance d’être sélectionnée mais je n’oublierai pas les quelques souvenirs d’avoir regardé quelques temps ce programme.

La télévision servait aussi chez moi à suivre les événements sportifs. Amateure de sports mécaniques, j’avais ainsi accès aux Grand Prix de Formule 1, certains matches de rugby (aussi rares soient-ils à l’époque) étaient retransmis sur les chaînes publiques, et d’autres manifestations du même ordre.

Avec le temps, le média jeu vidéo a pris une place de plus en plus importante, tout en laissant une grande partie de mon temps libre à une autre passion qu’est celle de la lecture. Toutes deux ayant des similitudes avec la stimulation de l’imaginaire et des possibilités d’évasion sans commune mesure.

J’ai décidé de ne plus regarder la TV au moment où je me suis séparée de mon ex-conjoint. Et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord, je ne me retrouve plus dans les programmes proposés : des films datés, des émissions trop peu rarement intéressantes ou alors diffusées à des heures archaïques (ce qui est en soi dommage). Je continue à suivre les manifestations sportives qui m’intéressent sur internet ou mon smartphone avec des notifications des applications des clubs que je suis ou de sites sportifs, et pour ce qu’il en est de la Formule 1, j’ai abandonné et étant diffusée sur la chaîne à péage Canal +, je n’ai pas envie de souscrire un abonnement pour si peu. Deux autres éléments majeurs m’ont également fait décrocher du petit écran : la diffusion des programmes à heure fixe et la publicité ! J’en reparle après…

Quand je parlais avec mes collègues de cette indépendance de la télévision, j’entends souvent : « A quoi te sert alors ta TV ? » Je réponds tout simplement, qu’elle me sert à jouer, et à regarder les contenus qui m’intéressent sur Netflix et Youtube !

Dans une vidéo intitulée « LA TV S’EFFONDRE ! Bientôt la fin de la télévision ? » Julien Chièze, journaliste analyse des données sur cette désertification du petit écran par toute une génération de personnes, les plus jeunes ! Regarde plutôt :

Je rejoins cette analyse, mais aussi me retrouve complètement parmi ces personnes pour qui, la consommation de télévision a nettement chuté, voire disparu de mon mode de vie. J’évoquais les heures fixes de diffusion des programmes, en effet, avec mes récentes activités professionnelles, je ne prends plus le temps de me poser à une heure fixe devant mon écran (ou alors uniquement pour les quelques matches encore diffusés…).

Je parlais de la publicité à la TV, un autre facteur qui explique mon manque d’intérêt. Regarder un film et être interrompu par de nombreuses coupures de publicité ne me donne guère envie. Autant prendre une VOD ou acheter le blu-ray du film que je souhaite regarder. Dans cet article du journal Le Parisien, quelques changements sont également à prévoir pour les prochaines semaines, avec encore plus de réclame et soit-disant des soirées cinéma plus fréquentes : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/reforme-de-l-audiovisuel-tout-ce-qui-va-changer-a-la-tele-03-09-2019-8144913.php%C3%80?fbclid=IwAR1u8nbB4bvxIVbLfP35hoZgtgCUc4x2B8nVsQ-_EpqHWwd-gokBtQXCrko Ce dont, pour ma part, je doute fortement et dans le but de tenter de concurrencer Netflix.

Netflix, plateforme de streaming de séries et films. Je l’ai découverte pendant l’été 2017 avec la série 13 Reasons Why (13 raisons pourquoi, en français). J’apprécie de pouvoir savourer une série à mon rythme et selon mes envies. Si je ne souhaite regarder qu’un épisode à la fois, cela est possible. De même pour binger (regarder de manière intensive) une même série. Le tout disponible en VOST (version originale sous-titrée) avec certains contenus disponibles en 4K, le tout pour le prix à peu près équivalent à un blu-ray. Ma consommation de films a évolué avec ce service. Cependant, j’achète de plus en plus de manière raisonnée, mais j’en reparlerai dans un prochain article, car il ne concerne pas que l’industrie cinématographique.

Tout ceci pour répondre à ma question de départ : pourquoi est-ce que j’ai arrêté de regarder la TV :

  • D’une part parce que les émissions ne m’intéressent plus et que je trouve les réponses à mes questions dans d’autres types de programmes, animés par des passionnés sur Youtube, et qui correspondent bien mieux à mes attentes.
  • Mon mode de vie a évolué : moins de temps disponible, et je peux me poser à tout moment de la journée sans avoir à me mettre de rappel pour ne pas rater le début d’un programme.
  • Pour éviter la publicité omniprésente sur nos chaînes de télévision, ce qui engendre bien souvent des retards dans la diffusion de ces mêmes programmes.
  • Pour la sensation de liberté que cette indépendance a engendré chez moi.

Et toi, regardes-tu encore la TV ou dirais-tu que chez toi aussi la consommation de ce medium a évolué ?

Tu peux réagir dans les commentaires de l’article et je serai ravie de te lire…

A bientôt sur Les Carnets d’Enaid 😉

Le jeu vidéo est-il un art ?

Hello cher lecteur !

Nouvelle tribune sur un sujet dont j’entends plus que souvent parler… la notion d’art et de jeu vidéo.

Le thème du jour me tient particulièrement à coeur, et, bien souvent lorsque j’aborde le sujet sur Twitter, les 280 caractères me paraissent infimes pour résumer le fond de ma pensée que j’essaie d’avoir à peu près synthétique.

Aujourd’hui, le jeu vidéo reste un média jeune, tandis que les autres arts auquel il est opposé sont plus anciens. La musique date de l’Antiquité, pendant que le cinéma a quelques siècles derrière lui.

Couverture du livre The Art of Video Games, From Pac-Man to Mass Effect de Chris Melissinos et Patrick O’Rourke, un ouvrage intéressant sur l’évolution de l’art vidéoludique !

J’ai toujours considéré le jeu vidéo comme un art à part entière, qui plus est, un art complexe car il utilise plusieurs composantes pour exister : à la fois des graphismes, de la musique, et bien d’autres éléments qui permettent de donner vie à une oeuvre vidéoludique. Je pense que cette question de la place du jeu vidéo comme art vient davantage des personnes qui ne connaissent pas ou très peu notre art préféré. Il en est de même pour une personne qui ne va rien connaître, ou très peu à la peinture ou la sculpture, pour en retirer l’essence de ce qu’elle peut observer. Chaque art a son public bien différent, et tout le monde a sa sensibilité qui diffère face à ce qui lui est présenté.

Pour ma part, la question ne fait pas débat car j’ai grandi avec le jeu vidéo, je l’ai vu évoluer, en passant des consoles 8 bits à nos consoles actuelles (PS4 et Xbox One) ! Avec les années, j’ai ainsi pu observer une amélioration des outils utilisés, ce qui s’est ressenti dans nos expériences de jeu. Nous avons des expériences d’un tel réalisme que le jeu vidéo n’a rien à envier au cinéma, avec certaines productions vidéoludiques qui se rapprochent voire même dépassent celles de certains longs-métrages. C’est pour dire à quel point le jeu vidéo représente un sacré investissement de moyens.

Autre point : la diversité. Lorsque j’entends des personnes me dire : « de toute façon, le jeu vidéo, ce n’est que violence ! ». Je prends une bonne inspiration et explique que tout comme dans son voisin le cinéma, les genres sont nombreux, et qu’il y en a pour tous âges et de tous styles. Je décris un peu chacun d’entre eux et ces mêmes personnes me font alors la remarque qu’elles seraient bien tentées d’essayer, quand d’autres n’essaient pas d’entrer dans le débat. Il en est de même pour expliquer aux parents et adultes éducateurs auprès de jeunes enfants que tous les jeux vidéo ne sont pas adaptés à tous les enfants, et c’est là qu’entre en scène le PEGI (programme européen) et les catégories d’âge indiquées sur les jaquettes de jeu.

Tout comme un film au cinéma n’est pas accessible tout public, il convient de respecter ces règles et je constate avec effroi que ce n’est pas toujours le cas. Bénévole sur un salon gratuit en juillet dernier et ouvert à tous, j’ai eu quelques échanges avec des enfants de tous les âges, et certains m’ont affirmé jouer à GTA V ou Call of Duty (qui sont, dois-je le préciser, 18+ ?) ! C’est tout un accompagnement éducatif qu’il convient de faire…

Pour moi donc, le jeu vidéo est un art qu’il est nécessaire de considérer comme tel, avec sa diversité, son besoin d’acceptation par toutes et tous, en respectant les goûts de chacun. Nous avons tous un ressenti différent devant un jeu vidéo, et tout comme on observe une sculpture ou écoutons un morceau de musique avec une sensibilité différente, nos expériences sont différentes et les partager nous enrichissent !

Et toi ? Un ressenti ou un avis sur la question de l’Art et du jeu vidéo ?

Comme toujours, dans l’espace commentaires, tu peux y écrire ta réponse, avec tes arguments propres ou ton opinion sur la question, je lirai et viendrai te répondre avec grand plaisir !

A bientôt sur le blog 😉

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