[LECTURE] Appelez moi Nathan, de Catherine Castro et Quentin Zuttion

Hello! Hello!

J’espère que tu vas bien. La fin de cette semaine arrive et avec elle, sans doute des envies d’évasion, que ce soit en partant en escapade ou en te plongeant dans un bon livre.

Cela fait un petit moment que je n’ai pas partagé de récent coup de coeur lecture, et aujourd’hui, je viens partager celui que j’ai eu pour le roman graphique Appelez moi Nathan, écrit par Catherine Castro et illustré par Quentin Zuttion.

De quoi parle ce livre ? (source : site de l’éditeur)

Nathan est né Lila, dans un corps de fille. Un corps qui ne lui a jamais convenu, il décide alors de corriger cette « erreur génétique » avec le soutien indéfectible de sa famille, ses amis, ses profs et, à seize ans, des injections de testostérone de 0,8 mg par mois. Quitte à devenir quelqu’un, autant que ce soit vous-même.

Mon ressenti

La question de la transidentité et de la transition de genre est quelque chose qui me touche beaucoup personnellement, car je côtoie des personnes qui en ont réalisé ou qui sont en plein parcours, et chaque témoignage unique mériterait à lui seul d’être raconté. D’autre part, étant en relation d’amour/de désamour avec mon corps au quotidien, le témoignage de Nathan m’a particulièrement bouleversé.e car je me reconnais dans certains de ses propos qui sont très durs mais qui représentent bien toute la confusion que nous pouvons avoir entre la question de notre genre assigné et celui que nous sommes vraiment. S’apprécier tel.le que nous sommes demande un long travail sur soi et l’entourage est primordial pour que cette démarche se passe dans les meilleures conditions possibles. Et je tiens ici à remercier toutes les personnes présentes.

Le parcours de Nathan n’est qu’un exemple parmi d’autres, et transitionner (changer de genre) n’est pas comme je pourrais le lire ou l’entendre ici ou là une question de mode ou de folie passagère. Je te laisse contacter des personnes qui ont vécu cela pour que tu comprennes à quel point notre société reste encore clivante sur la question de genre et que les débats restent encore tendus, et ce, sans tenir compte de l’âge ou de l’origine sociale.

Ce livre m’a touché.e car j’ai pu observer que, malgré les craintes de l’entourage familial de Nathan, ses parents l’accompagnent, et ce n’est pas toujours le cas, de nombreuses personnes LGBT+, dès qu’elles décident de s’accepter comme ils, iels, elles sont, se retrouvent mis à l’écart et mis à la porte du domicile parental. Ce qui provoque une sensation de rejet qui demande parfois de longues années à se réparer.

Je recommande donc ce livre à qui souhaite élargir son esprit sans entrer dans un voyeurisme malsain sur la question de la transidentité.

Voici les avis recueillis sur le site de l’éditeur : https://www.payot-rivages.fr/payot/livre/appelez-moi-nathan-9782228921626

Je tiens à remercier Baptiste pour le prêt de cet ouvrage, et nous en avons longuement parlé, mais celui-ci est un de mes vrais coups de coeur de ces dernières années.

Et toi, serais-tu intéressé.e pour parler davantage de ce sujet sur le blog ? N’hésite pas à m’en faire part dans l’espace des commentaires 😉

A très bientôt dans les Carnets !

[CINEMA] Cin’Enaid Air : courtiser une légende !

Hello! Hello!

J’espère que tu vas bien après ce long pont (viaduc) de l’Ascension (ou simple weekend, si tout comme moi tu travaillais vendredi…). Me voici de retour après quelques jours d’absence sur le blog et aujourd’hui, je viens partager mon récent coup de coeur pour le film Air, disponible sur Prime vidéo depuis le 12 mai dernier !

Avant-propos

Tout le monde connaît les Air Jordan ? Ces chaussures emblématiques qui nous accompagnent depuis déjà plusieurs décennies ! Ce que nous connaissons moins, c’est leur histoire et ce qui se cache sous cette collaboration mythique entre Nike et Michael Jordan, alors jeune joueur prometteur de basketball !

Synopsis du film

Sonny Vaccaro, le directeur du marketing sportif de chez Nike poursuit sans relâche Michael Jordan pour conclure un partenariat historique, avec son acolyte, Phil Knight, milliardaire et cofondateur de Nike.

Mon ressenti

Avec un casting impressionnant, j’attendais de ce film de mieux comprendre les coulisses de la collaboration Nike/Jordan et j’ai été agréablement surprise par le jeu des différents acteurs protagonistes de ce film qui nous replonge avec nostalgie dans les années 1990, tant au niveau des costumes mais aussi dans le choix des musiques qui nous accompagnent au long du métrage !

Ce qui est intéressant de voir dans ce film, c’est d’observer la détermination et la pugnacité de Vaccaro pour obtenir cet accord ! Qui n’abandonne pas malgré les obstacles qui se présentent devant lui !

Un film qui nous offre bien plus qu’un simple regard sur ce qui va changer l’histoire des collaborations entre sportifs.ves et équipementiers !

Je ne serais pas contre un second film sur d’autres collaborations du même genre, dans d’autres sports (pourquoi pas le rugby…).

Pour terminer, je te laisse ici la bande annonce du film qui est sorti au cinéma dans quelques rares pays

Et toi, qu’as-tu pensé de ce film ? Ton avis m’intéresse, et l’espace des commentaires est ouvert pour le recueillir et échanger avec toi 😉

A très bientôt sur le blog !

[CINEMA] Cin’Enaid : Super Mario Bros. le film !

Hello Hello!

Cela fait quelques temps que la rubrique cinéma n’était pas apparue sur le blog ! Pour son retour, j’ai choisi de te proposer mon ressenti sur le film Super Mario Bros !

Sorti en salles le 5 avril (en France) ou le 7 avril (dans d’autres contrées) celui-ci nous transporte dans l’univers du plombier à la salopette en jean et à la casquette rouge devenu mascotte de Nintendo depuis la fin des années 1980 !

Qu’en ai-je pensé ? Avant de répondre à cette question en fin d’article, je te propose mon ressenti sur le métrage en plusieurs parties : mon lien avec Mario, retour sur le film en lui-même (sans divulgâchage) et enfin ce que j’en ai pensé !

Prêt.e ? Here we go!!

Mario et moi : une longue histoire !

Certain.e.s d’entre vous connaissent ma passion vidéoludique, née dans ma plus tendre enfance. Cependant, mes premières parties manettes en main… ont eu lieu sur Super Mario Bros. 3, sorti en 1991 en Europe sur NES (1988 au Japon) ! Et oui, c’est bien avec le plombier moustachu que j’ai connu mes premières émotions liées au jeu vidéo ! C’est accompagné.e de mon amie d’enfance Virginie que j’ai eu l’occasion de découvrir le jeu vidéo et de tomber dans la marmite alors que je n’avais que 5 ans ! Moi qui, à l’époque, ne connaissais rien en matière de jeu sur console, cette première approche fût pour moi quelque peu particulière car Virginie m’a mis la manette en mains en me proposant comme défi d’être plus rapide qu’elle !

Pour l’anecdote, je ne compte pas le nombre de vies sacrifiées ni de Game Over apparus à l’écran mais j’étais absorbée par ce nouveau divertissement… ce qui m’a conduit à demander une console de jeu à mes parents pour les Noëls et anniversaires suivants… et ce n’est que quelques mois plus tard que j’ai reçu ma SEGA Master System 2 pack Sonic ! (passant du côté rouge de la force au bleu de Sonic et de SEGA… sans regret !)

Ma dernière aventure avec Mario était Mario Odyssey, sorti (déjà) en 2017 ! Un vrai moment de plaisir vidéoludique dont je garde un agréable souvenir ! Aussi bien au niveau de la fluidité que des mondes colorés, ce jeu demeure dans mes aventures vidéoludiques de coeur !

Même si je n’ai pas expérimenté toutes les aventures de notre héros du jour, il est, pour moi, une mascotte qui a bercé et bercera encore bien des générations de joueur.se.s !

Passons au film !

Synopsis

Un plombier nommé Mario parcourt un labyrinthe souterrain avec son frère, Luigi, essayant de sauver une princesse capturée. 

Le film

Et là, je t’entends me dire « c’est un jeu ou un film ? ». Et bien je serais tenté.e de te répondre que l’on vit dans un jeu ! Avec un rythme soutenu, des décors comme Nintendo sait nous régaler et une ambiance sonore qui se savoure, ce film nous propose de poser notre manette et admirer l’aventure de Mario qui va aider la princesse Peach à vaincre Bowser.

D’une durée convenable (un peu plus d’une heure trente), on ne s’ennuie pas tant l’action reste intense, portée par nos protagonistes ! Toute personne qui apprécie d’observer ici ou là les différents clins d’oeil cachés dans ce long métrage aura largement de quoi s’occuper ! De Jump man aux différentes licences de Nintendo, le choix est varié et il serait trop long de tout lister ! Sans oublier le cultissime film Super Mario Bros. de 1993 !

Le casting d’acteurs est lui aussi impressionnant ! De Chris Pratt (Mario) à Jack Black (Bowser) en version originale, nous sommes servis ! La version française est excellente et sincèrement, j’ai beaucoup apprécié retrouver certain.e.s comédien.ne.s de doublage que nous connaissons tous.tes : Pierre Tessier (Mario) ou bien encore Donald Reignoux (Kamek) !

Illumination, à qui l’on doit Les Minions, apporte sa touche animation avec brio et c’est appréciable, aucun temps mort pendant le métrage, ce qui ravira les plus ou moins jeunes !

Pour avoir lu certaines critiques, qui déplorent un scenario plat et vide, nous ne sommes pas dans un film d’auteur, mais dans un divertissement sur grand écran !

Mon ressenti

J’entends déjà de nombreuses personnes connaissant mon affection pour le hérisson bleu (Sonic) et je vais être honnête : Nintendo a réussi là où SEGA a échoué ! Je m’explique : alors que Sonic le film veut nous proposer un Sonic propulsé dans le monde « des humains » en lui proposant de sauver l’humanité, Super Mario Bros. est un pur régal et Mario est égal à lui-même, sans en rajouter et sans fioritures qui pourraient alourdir l’expérience !

On sent clairement que Nintendo a investi dans le film tandis que SEGA ne fait qu’une courte apparition dans l’intro de Sonic Movie (ce qui, je dois l’avouer, m’a beaucoup déçu.e) !

Je recommande clairement ce film à toute personne qui sera nostal’geek ou qui souhaitera apprécier un bon moment ! Je prendrai plaisir à revoir le film pour essayer de trouver toutes les références semées ici où là. La chanson de Bowser est restée dans ma tête… (je laisse chercher les curieux.ses… vous me remercierez plus tard… ou pas !).

Petit.e.s et grand.e.s savoureront un moment de bonheur devant Super Mario Bros. le film !

Merci pour ta lecture !

Tu peux partager ton ressenti en commentaires si tu le souhaites !

A très bientôt sur le blog 😉

[HI FI] Audio-Technica M50X

Introduction

Mais quelle erreur, quelle erreur de ne pas avoir acheté ce casque plus tôt !
Proposé à 169€, ce casque est un miracle. Il est tout simplement incroyable et je vais vous expliquer pourquoi !
Mais avant toutes choses, en guise de mise en bouche, faisons un point sur la situation.

A l’heure où j’écris ces lignes, je possède 9 casques, allant de 105€ à 1500€, tous aussi différents les uns que les autres, excellents dans leurs domaines et ayant été achetés pour une raison bien précise, leur signature sonore.
Mais alors, pourquoi me diriger vers un casque entrée de gamme tel que l’Audio-Technica M50X ?
Tout d’abord parce que j’en entends parler en bien depuis des années (notamment par PP Garcia « PP World ») mais également car c’est un casque approuvé et adulé par de nombreux ingénieurs du son.
J’ai entendu dire que c’est LE casque à avoir et que ses performances sont redoutables !
J’ai eu notion de son rendu sonore fidèle (ou presque) et proposant des performances acoustiques hors du commun.
Voilà le genre de casque qu’il me manquait. J’ai tardé à l’acheter mais ceci étant fait, je peux enfin vous donner mon avis et vous proposer cet article.

Maintenant, rentrons dans le vif du sujet, bonne lecture !

Crédits : Babs

Le confort

L’Audio-Technica est solide et a belle allure malgré sa construction en plastique et similicuir.
Une fois en main et posé sur la tête, il inspire confiance et ne bouge pas, même en mouvement.
Cependant, je vous déconseille de faire votre sport avec, il n’est pas fait pour cela, je doute que les coussinets apprécient la transpiration et le casque, une éventuelle chute !

Le M50X est, de prime abord, plutôt confortable. Il appuie un peu sur les oreilles, ce qui est un bon point pour une écoute nomade mais cela peut rapidement s’avérer désagréable chez soi lors d’une écoute prolongée.
En effet, au bout de quelques heures d’écoute, vos oreilles peuvent commencer à chauffer et à transpirer. L’hiver, cet apport de chaleur peut être plutôt agréable mais lorsque les températures changent, cela peut rapidement devenir un problème et ainsi venir raccourcir vos sessions d’écoute.

L’Audio-Technica sera donc un excellent compagnon pour des écoutes à durée modérée. Nous n’avons pas affaire au confort d’un circum-aural (coussinets autour de l’oreille) ouvert qui vous permettra d’écouter votre musique durant de longues heures sans gêne ou douleurs.

Malgré cela, le son est très bon et on ne voudrait que cela ne s’arrête jamais !

Le rendu sonore

Je vais vous évoquer, dans cette partie, mon ressenti par rapport à l’écoute de trois morceaux de musique.
Tout ce qui sera dit est purement et parfaitement subjectif. Je ne dispose pas d’appareils de mesure pour vous donner des données concrètes et objectives quant rendu sonore réel de ce casque.
Si vous l’écoutez, vous aurez peut-être un ressenti différent du mien, ce qui est normal car l’interprétation du rendu sonore d’un casque audio ou matériel Hi-Fi est propre à chacun.
Un ressenti sera toujours subjectif, seules les mesures scientifiques vous donneront des résultats concrets sur lesquelles vous pourrez vous baser pour vous décider à acheter ou non un matériel Hi-fi, par exemple.

Je vous mets à disposition plusieurs sites (en anglais uniquement) proposant des tests objectifs et mesures scientifiques à la fin de l’article.

Lors de cette écoute, je dispose d’un amplificateur casque, le Topping A90 ainsi que d’un DAC (Digital Audio Converter) Topping E30. Le DAC permet de convertir un signal numérique (PC / Mac) en un signal analogique (vers l’amplificateur).
Ainsi, en connectant la prise jack 6.35mm de l’Audio-Technica M50X au Topping A90, je peux écouter ma musique présente sur mon PC avec Qobuz ou TIDAL, par exemple.

Je tiens à préciser que ce duo (Topping A90 / E30) transmet un son avec la neutralité la plus parfaite, mesures à l’appui (disponibles via les sites sources à la fin de l’article), idéal pour analyser ce M50X !

Crédits : Babs

J’ai analysé trois morceaux assez différents.
Le premier avec Bernard Lavilliers qui nous propose un titre s’avérant difficile à écouter si le matériel n’est pas de qualité.

Le second, plutôt dense et agressif (Dubstep) en fait un morceau également difficile à lire si l’on manque de détails et d’aération. Le rendu deviendra rapidement brouillon et usant.

Le dernier est selon moi, une référence pour tester et analyser les graves de son système.
Il sera également intéressant pour son aération et sa séparation des instruments, il créé une ambiance tout à fait particulière.

Commençons !

Bernard Lavilliers – Saint-Etienne
Très belle présence des graves sans exagération, il y a du volume, de la profondeur, c’est aéré.
Nous avons une très belle lisibilité et facilité de lecture.
Comme précisé au dessus, c’est un titre difficile à lire quand le casque n’est pas performant, le M50X y arrive haut la main !
On constate qu’il est tout à fait possible d’avoir du matériel performant à petit prix.


RIOT – Jungle Fury
La lecture de ce morceau, difficile au premier abord, apparait comme aisée et la scène lisible.
C’est assez dynamique tout en restant écoutable et agréable.
Le rendu apporte clarté et aération.
Surprenant !


The Advent / Industrialyzer – Up Close
Malgré ce fort apport en grave, l’Audio-Technica M50X arrive à nous offrir un son digne de ce nom. Le bas du spectre s’exprime pleinement mais sans écraser les médiums et les aigus. Tout est à sa place !
Encore une fois, la clarté est de mise, le tout dans un bel équilibre et de la cohérence.

Crédits : Babs

A qui est-il destiné ?

L’Audio-Technica M50X plaira aux passionnés d’un son dynamique et (presque) fidèle.
Il acceptera tous les genres de musique sans faire de difficultés.
Que vous aimiez écouter vos morceaux favoris en vous baladant ou chez vous, ce casque peut être une solution intéressante. Il est léger, compact et propose une isolation phonique acceptable.

Ainsi, grâce à sa grande polyvalence et son rendu sonore de qualité, L’Audio-Technica pourra séduire un large panel de personnes.

Conclusion

Ce que j’ai apprécié :

– Sa puissance !
– Excellente lisibilité de la scène sonore
– Clarté et aération
– Bel équilibre tonal malgré des graves un peu mis en avant
– Sa légèreté, il est agréable à porter
– Un fois sur la tête, il reste en place même en mouvement

Améliorations possibles :
– Meilleur confort de l’appui-tête, le rembourrage est un peu léger
– Davantage de détails et de définition

Mot de la fin

L’Audio-Technica M50X étonne de par son rapport performance / prix.
Je ne pensais jamais dire cela un jour, j’apprécie écouter de la musique avec un rendu sonore fidèle ou du moins, s’en rapprochant.
Avec ce casque, je prends du plaisir à écouter tous les styles de musique, sans exception. Je ne vais pas abandonner mes autres casques, disons qu’ils excellent dans leurs domaines, là où le M50X les survolent tous mais les survolent bien !

Sites web (tests et mesures)

[HI FI] Stax SR-L500 MK2 & SRM-353X (Casque et amplificateur)

Bonjour à toutes et à tous !
Aujourd’hui, je vous présente deux produits un peu particulier, un casque et son amplificateur de la marque Stax.

Sans plus attendre, je vous laisse découvrir ce test !

Introduction

En tout premier lieu, il est important de rappeler qui est Stax et quelle place la marque occupe dans le monde de l’audio.
Fondée en 1938 au Japon, ce n’est qu’à partir de 1960 que l’entreprise nippone développe son premier casque électrostatique. Celui-ci devient le tout premier casque au monde intégrant cette technologie. Il sera nommé SR-1.

Encore aujourd’hui, Stax propose, pour les professionnels et les audiophiles les plus exigeants, des produits haut de gamme. Ceux-ci sont un gage de qualité et assurent une écoute haute-fidélité.
Sur le site web de la marque, on retrouve des casques couplés à leurs amplificateurs abordant un design pour le moins inhabituel (par rapport aux casques d’ores et déjà disponibles sur le marché) que l’on pourrait même qualifier d’unique !

Le système qui nous intéresse aujourd’hui est composé d’un casque, le SR-L500 MK2, ainsi que de son amplificateur dédié, le SRM-353X.

Crédits : Le Comptoir du son

Les caractéristiques techniques

Il s’agit là d’un casque à technologie électrostatique de type ouvert. « Ouvert » signifie que vous entendrez tous les bruits environnants et que votre entourage entendra ce que vous écoutez. Cet ensemble devra donc être utilisé dans une pièce au calme, loin de toute agitation.

Concernant les spécifications du SR-L500 MK2, sa réponse en fréquences commence à 7 Hz et va jusqu’à 41 000 Hz.

Son rapport signal / bruit est de 101 dB, son impédance est de 145 KOhms. Il pèse 448 g et la longueur de son câble est de 2.5 m. C’est une taille correcte à condition de ne pas être trop loin de l’amplificateur.

Au tour de l’amplificateur SRM-353X.
Il s’agit d’un ampli à transistor de Classe A, son impédance d’entrée est de 50 KOhms. Il possède deux entrées casque, une entrée analogique RCA, une XLR ainsi qu’une sortie analogique RCA.

Les dimensions sont les suivantes : 132 x 100 x 360 (L x H x P).

Le tout pour un poids de 3 kg, un beau bébé !

La qualité des matériaux

Une fois pris en main, le SR-L500 MK2 semble plutôt fragile, notamment à cause des coques ornées de plastique noir. Étonnant pour cette gamme de prix (925 €).

Le casque est tout de même composé d’alliage d’aluminium et de cuir, gage de solidité et de pérennité.

Son câble plat en cuivre pur à 99,99 % s’avère solide et a le privilège de ne pas s’emmêler. Un bon point pour l’ergonomie.

L’amplificateur SRM-353X inspire confiance grâce à sa qualité de fabrication supérieure et à son poids. Une fois posé, il ne bouge pas et ça, c’est rassurant.

Crédits : Stax Audio

Le confort

Les oreillettes, habillées de cuir véritable, sont fermes mais très agréables au toucher et sont également des plus confortables une fois placées sur les oreilles.

L’appuie-tête, lui aussi en cuir, amène douceur et maintien et assure un moment de détente.

L’arceau quant à lui possède une glissière à cliquet très précise permettant à l’auditeur d’ajuster le casque sur sa tête comme il le souhaite.

Le confort est de mise, et ce même pour les porteurs de lunettes !

Le rendu sonore

En quelques mots…

  • Aération
  • Naturel
  • Clarté
  • Justesse

Tout d’abord, il est important de préciser que le son que nous entendons sur ce système est dirigé vers l’avant et non au centre de la tête comme pour la plupart des casques disponibles sur le marché.

L’écoute se fait naturelle, l’analyse des plans sonores aisée. Il n’y a aucune coloration, aucun artifice, juste la musique !

Pour certains morceaux écoutés, les instruments sont parfaitement identifiables. On pourrait les représenter avec des bulles. Chaque bulle contient un instrument ou une voix et ces mêmes bulles sont placées dans l’espace avec une grande acuité et unicité.

Concernant les fréquences, les graves sont puissants et secs.
Les médiums quant à eux sont bel et bien là, ni trop ni trop peu, mais dosés comme il se doit.
Les aigus sont présents et non brillants. Ils s’intègrent avec aisance dans le flot de fréquences.

Crédits : Wide Screen Audio

À qui est destiné ce système ?

Ce système Stax est avant tout destiné aux passionnés et aux amoureux de la musique, mais il ne correspondra pas à tous les styles.
Les genres acoustiques et électriques seront très agréables à écouter tandis que les morceaux électroniques, bien qu’ils aient été correctement mixés, seront plutôt désagréables à l’oreille.

Ce duo ne fera pas de magie. Si le master n’est pas bon, le rendu sonore sera catastrophique.

Vous devrez évidemment faire attention aux types de fichiers que vous lui donnerez. Le MP3 et autres formats avec pertes sont à proscrire. Des fichiers lossless tels que le FLAC et le DSD devront donc être privilégiés.

Conclusion

Certains considèrent les systèmes Stax comme une finalité dans l’achat de matériels audio, d’autres croient entendre « la voix de Dieu » lors de l’écoute de cet ensemble.

Le SR-L500 MK2 et le SRM-353X s’adresseront à un public averti. Ce combo nous donne une telle impression de réalisme et de pureté…

Le prix du casque se situe aux alentours de 925 €, et celui de l’amplificateur aux alentours de 1 390 €. Un achat comme celui-ci ne se fait qu’une seule fois dans une vie et ça en vaut le « coût » !

J’espère que ce test vous aura plu.
A bientôt !

[JEUX VIDEO] Hellfire Saga! Le jeu qui emmène Sonic en enfer !

Hello! Hello!

J’espère que tout va bien en ce mois de mars. J’avoue, les publications ne sont pas régulières sur le blog, mais en ce moment je suis en pleine formation sur mon nouvel emploi, et j’avoue que les soirées sont consacrées au repos et à mes autres activités et les fins de semaine sont bien remplies, ce qui me laisse peu de temps pour venir écrire des posts.

Aujourd’hui, je viens te parler de ma mascotte vidéoludique, Sonic, et d’un fangame disponible depuis fin janvier : Hellfire Saga. Si tu ne connais pas ce jeu, pas de panique, je vais te le présenter dans mes prochaines lignes !

Petite présentation

Hellfire Saga est un jeu non officiel qui a demandé 5 ans de travail à son équipe de création, composée de personnes amateur. Basé sur une ROM hack (ou modification d’une ROM existante) de Sonic 3 & Knuckles (sorti en 1994 sur Megadrive) ce fangame est un hommage à différentes licences aujourd’hui disparues…

On retrouve parmi elles

Sonic the Hedgehog 1 et Sonic 3 & Knuckles

Ghost n’ Goblins (jeu arcade sorti en 1985), Ghouls n’Ghosts (arcade, 1988 mais aussi Megadrive), Super Ghouls n’ Ghosts (Super Nintendo, 1991, un portage est disponible sur Nintendo Switch)

Kid Chameleon (1992)

The Legend of Zelda, A link to the past (Super Nintendo, 1991)

Castle of Illusion starring Mickey Mouse (Megadrive/Master System 1992)

etc… la liste est longue !

De quoi s’agit-il ?

Dans une ambiance sonore metal rock, Sonic évolue et rencontre différents boss qui rappelleront des souvenirs aux plus nostalgeeks d’entre nous. La durée pour terminer ce jeu est d’une heure, en prenant son temps… Le studio Red Miso nous offre un vrai moment de plaisir pour quiconque a joué aux licences précédemment citées ou qui souhaite découvrir Sonic dans un univers complètement différent que celui que nous connaissons. Ce jeu est accessible aussi bien aux néophytes qu’aux personnes plus expérimentées.

Voici la bande annonce du jeu

J’ai découvert ce jeu par hasard en regardant des contenus sur le Hérisson bleu et j’avoue que dès que j’aurai un peu de temps disponible, je lancerai une petite partie…

Si tu es intéressé.e pour y jouer, le jeu est disponible ici : (attention, il se peut qu’un émulateur soit requis pour jouer) https://redmiso.studio/roms/HellfireSaga_Final_30_01_23.gen

Pour en savoir plus sur Red Miso Studios (site en cours de création au moment où je rédige cet article)

https://redmiso.studio

Pour avoir la liste complète des jeux qui ont inspiré Hellfire Saga, mais aussi de plus amples informations sur les personnes qui ont contribué à ce fangame

https://sonicresearch.org/community/index.php?threads/hellfire-saga-grand-finale.6704/

ce site est une vraie mine d’information sur Sonic, j’y passe régulièrement pour suivre des projets non officiels…

Et si tu souhaites découvrir le jeu, avec un gameplay intégral de Hellfire Saga, voici celui de Jaypin88 (qui propose sur sa chaîne des contenus autour de Sonic)

Voici pour mon petit partage du jour, j’espère que celui-ci t’aura donné envie de découvrir ce jeu qui (selon moi) mériterait une sortie consoles… mais cela n’engage que moi !

Je te remercie pour ta lecture et te souhaite une agréable fin de journée.

A bientôt dans Les Carnets 😉

[SÉRIES] Mes coups de coeur du mois de février !

Hello! Hello!

J’espère que tout va bien pour toi et que tu as passé un bon mois de février. J’avoue, j’ai été peu disponible pour écrire sur le blog ces dernières semaines. Entre un rythme professionnel quelque peu soutenu (période de vacances scolaires qui n’était pas de tout repos) et un besoin de me retrouver avec moi même pendant quelque temps et aussi la joie de petits tracas santé (sans gravité, mais qui m’ont mis au lit au moment où je voulais rédiger…).

Comme je l’indiquais dans mon Edito mensuel, certaines rubriques vont petit à petit revenir sur le blog et aujourd’hui, je vais parler de séries ! Cela faisait quelques mois que ce n’était pas arrivé ! Je vais donc te proposer de découvrir 4 séries que j’ai particulièrement appréciées au cours des dernières semaines.

Tu peux suggérer tes (re) découvertes dans l’espace des commentaires, ce sera un plaisir d’aller voir si celles-ci pourront faire l’objet de prochains posts dédiés 😉

Prêt.e ? Allons-y !

Feel Good – 2 saisons – Disponible sur Netflix – série comico-romantique (2020) créée par Mae Martin et Joe Hampson

Synopsis

Tout en tentant de surmonter les difficultés de la sobriété, l’humoriste Mae Martin vit une histoire intense et compliquée avec sa nouvelle petite amie.

Mon ressenti

Cette série aborde non sans humour les joies des relations sentimentales, les hauts et les bas qu’elles peuvent nous faire vivre, mais aussi la difficulté de se sevrer de substances légales ou non (attention : la série aborde la consommation de stupéfiants et les dérives liées). J’ai été traversé.e par diverses émotions au fil des épisodes, tantôt des sourires, tantôt des larmes devant le désespoir de Mae. Elle a fait écho à mon histoire personnelle (bien que non consommatrice d’alcool ou autre substance). Quel plaisir également de voir Lisa Kudrow (connue pour son rôle dans Friends) ! Une série à réserver aux adultes, certaines scènes n’étant pas destinées à un jeune public.

La nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé – mini série de 5 épisodes – Disponible sur My Canal – série thriller psychologique (2022) – de et avec Xavier Dolan

Synopsis

Au début des années 1990, Mireille, son frère Julien et leur meilleur ami Laurier forment un trio inséparable qui se rêve un bel avenir. Mais une nuit d’octobre 1991, leurs destins sont à jamais bouleversés par un terrible incident.

Mon ressenti

Xavier Dolan, dont les talents de réalisateur ne sont plus à démontrer, a toujours voulu écrire une série télévisée. Inspirée de la pièce de théâtre éponyme, cette série nous plonge dans les tourments d’une famille dont le secret si bien gardé en apparence leur explose en pleine figure au moment du décès de leur mère. J’attendais avec impatience la diffusion de cette série qui m’intriguait beaucoup. La thématique des secrets familiaux est délicatement amenée, et j’ai été ici aussi touché.e au plus profond de moi-même.

Nous voulons tous être sauvés ! (Tutto chiede salvezza) – mini série de 7 épisodes – Disponible sur Netflix – série comico-dramatique (2022) – réalisée par Francesco Bruni

Synopsis

Quand il se réveille interné de force dans un hôpital psychiatrique, Daniele doit réapprendre à vivre et à aimer avec l’aide de ses compagnons de soin.

Mon ressenti

Même si de prime abord une série sur la santé mentale ne m’attirait pas particulièrement, j’ai rapidement été captivé.e par le format court et les différents personnages compagnons de chambre de Daniele ont chacun un parcours de vie qui les rend attachants.

Cette série touchante alerte également sur les soins en matière de santé mentale en Italie. En France, même si les conditions d’accès à un établissement de soins sont différentes, la prise en charge de pathologies psychiques reste encore discutable.

Le livre Tutto chiede salvezza, qui a inspiré la série est dans ma liste de lectures à venir, et j’espère pouvoir bientôt l’acquérir et celui-ci pourra faire l’objet d’un prochain ressenti lecture !

En traître (Treason) – mini série de 5 épisodes – Disponible sur Netflix – série d’espionnage/thriller (2022) – réalisée par Matt Charman

Synopsis

Le brillant avenir d’un directeur adjoint du MI6 bascule soudain lorsqu’une rencontre avec une espionne russe l’oblige à remettre sa vie entière en question.

Mon ressenti

Dans cette série, nous retrouvons Charlie Cox (qui a incarné Daredevil dans la série éponyme) dans le rôle du directeur adjoint du MI6, service de renseignements extérieurs au Royaume-Uni et j’ai été surprise de le voir dans ce personnage d’apparence calme et posée mais qui révèle au fil des épisodes son passé trouble d’agent.

Malgré un final qui pourra paraître abrupt pour certain.e.s, le rythme haletant de cette série est captivant et il est difficile de décrocher.

Voici pour ma courte sélection du mois, je suis d’autres séries en ce moment, j’en parlerai quand j’aurai davantage avancé dans leur découverte…

Et toi, quelles séries ont retenu ton attention ces dernières semaines ? Toutes les suggestions sont les bienvenues 😉

Merci pour ta lecture et à bientôt dans les Carnets !

Source pour les synopsis : sites de Netflix France et My Canal

[LECTURE] Le temps passé avec un chat n’est jamais perdu de Véronique Aïache !

Hello hello!

J’espère que tout va bien pour toi. Comme promis dans mon Edito mensuel, les lectures sont de retour sur le blog. Aujourd’hui, c’est avec un livre découvert par hasard dans les étals d’une librairie de gare que je viens commencer cette année 2023 : Le temps passé avec un chat n’est jamais perdu, écrit par Véronique Aïache et disponible aux éditions J’ai lu.

Qui est Véronique Aïache ?

Journaliste spécialisée dans la presse féminine et autrice de plusieurs ouvrages, elle tente au travers de ses livres de décrypter le comportement des Hommes dans un lit ou dans leur tête. Ne trouvant pas toujours des réponses à ses questionnements, elle décide d’écrire sur des sujets variés.

Résumé du livre du jour – quatrième de couverture

« Le temps passé avec un chat n’est jamais perdu, éditions J’ai lu.


Tout commence quand l’histoire de Jean-Marc et Juliette se termine. Une rupture de plus ? Surtout une rupture de trop. Pour elle, au-delà du chagrin d’amour, c’est tout le sens de la vie qui vole en éclat.
Sur les conseils de sa sœur Laura et poussée par un de ses chats, Juliette part en Inde où elle espère se ressourcer et reprendre le contrôle de sa vie. Rien ne passe comme prévu. À Goa, elle rencontre un médecin qui lui diagnostique une « vie à l’envers » . Reste à savoir comment s’y prendre pour la remettre à l’endroit.
De retour à Paris, Juliette retrouve son quotidien, son appartement et ses trois chats. Contre toute attente, c’est grâce à eux qu’elle reprendra du poil de la bête en se lançant dans l’écriture d’un livre sur les sagesses félines : La Méthode Chat…
Après tout, le temps passé avec un chat n’est jamais perdu…
Laissez-vous entraîner dans cette fiction émouvante et mouvementée où l’art de vivre et la sérénité des chats sont au cœur du récit. »

Ressenti sur cette lecture

J’avais acheté ce livre à la base pour occuper un trajet en train plutôt long et il se trouve que j’ai lu autre chose, en le laissant involontairement de côté… c’est un dimanche soir, alors que je n’avais ni envie de me poser devant un film ou une série ou à jouer, que j’ai pris ce livre pour m’accompagner pour une soirée placée sous le signe de la détente.

Gribouille, ma minette, s’est installée non loin de moi (à portée de main pour recevoir quelques câlins), nous avons créé une ambiance cosy avec de la musique douce et je me suis laissé porter par cet ouvrage. Je ne suis pas nécessairement une adepte de ces livres avec des histoires sentimentales ratées, et pourtant… La Méthode Chat est quelque chose qui m’a beaucoup parlé, tout d’abord en tant que maman adoptive de ma minette, mais aussi, parce qu’il m’arrive d’observer le comportement et l’attitude de ma compagne féline, m’en inspirant de plus en plus pour adoucir mon quotidien.

C’est une lecture que je recommande de savourer confortablement installé.e, avec une ambiance douce et feutrée, une bonne boisson chaude (ou fraîche, selon le moment de lecture) et de se laisser embarquer dans ce court ouvrage (un peu plus de 200 pages).

Même si parfois certains passages sont quelques peu longs, j’ai apprécié cette lecture qui me change de mes habitudes, et je pense m’intéresser à davantage d’ouvrages de ce style. Si tu as des recommandations, elles sont les bienvenues.

Je te remercie d’avoir lu ce ressenti. Et toi, que lis-tu en ce moment ? Quelles lectures recommanderais-tu ? Tous les styles sont acceptés, l’ouverture d’esprit n’étant pas une fracture du crâne (comme disait Pierre Desproges)

A très bientôt dans les Carnets 😉

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