Hello toi !
En cette rentrée et au fil des prochaines semaines, je publierai davantage de contenu dans ma rubrique « bien-être » dans laquelle j’aborderai quelques idées pour améliorer notre quotidien.
Aujourd’hui, je viens te parler de mon expérience personnelle sur l’adoption animale et ses bienfaits et j’attends aussi tes remarques en commentaire de cet article ou via mes réseaux sociaux.
Le contexte
Je suis une personne anxieuse chronique (au sens médical du terme), avec des attaques imprévisibles, et parfois difficiles à gérer, selon leur intensité. Celles-ci apparaissent surtout le soir et la nuit.
La période récente de confinement, a été à la fois un moment bénéfique pour me poser et prendre du repos, mais aussi quelque peu difficile, notamment avec le manque de contact humain (physiquement j’entends) et ce, malgré des échanges en visioconférence ou via les systèmes de messagerie que nous avons à disposition.
J’ai toujours eu ce souhait que celui d’adopter un animal, l’idée me traversait l’esprit depuis la mystérieuse disparition de mon précédent compagnon… et c’est en discutant avec mes amis proches que ces derniers m’ont demandé pourquoi est-ce que je ne profiterais pas de cet isolement pour le rompre et ainsi retrouver une certaine sérénité.
Les démarches
J’ai alors entrepris mes démarches à la recherche du compagnon idéal : habitué à la vie en appartement, calme, propre… et c’est après différents contacts auprès de plusieurs associations que j’ai eu un « coup de foudre » pour ma petite Gribouille, une minette de type européen âgée de 7 ans. Une bouille d’amour qui mérite cette seconde vie.
L’arrivée et l’adaptation
Elle est donc arrivée fin avril, grâce à sa famille d’accueil qui a agréablement accepté de me la déposer à la maison.
Depuis, je ressens un réel changement, un bonheur partagé chaque jour en sa présence. L’idée de m’occuper de cette boule de poils adorable me permet aussi de me sentir mieux, et un animal est pour moi un membre d’une famille à part entière. Sans pour autant entrer dans l’humanisation de mon animal à outrance, comme on peut le voir ici ou là.
Je suis fière de voir les progrès de Gribouille au quotidien, qui prend de plus en plus ses marques à mes côtés, avec ses petites habitudes. Nous partageons des moments câlins (avec des séances de ronronthérapie apaisantes) mais aussi de jeu (à son âge, elle reste très éveillée et dynamique) et miss se révèle être une gourmande… le feeling a été rapide et nous nous sommes apprivoisées en toute quiétude.
Mes conseils
Avant d’adopter un animal, de quelque espèce que ce soit, il convient de réfléchir à son mode de vie personnel. Ceci va influencer sur le choix entre un chien ou un chat, par exemple. La contrainte du logement, sa taille, mais aussi l’accès à un espace extérieur est à ne pas négliger. L’entente avec d’autres animaux, les enfants est un paramètre qu’il convient de prendre en compte.
Pour ce qui est du bien être de l’animal, je recommande d’être présent pendant quelques jours après l’adoption de l’animal choisi, pour le rassurer en cas de possible inquiétude, changer d’environnement est une source de stress. La patience et le calme permettront à l’animal de se sentir en sécurité.
Lorsque l’on adopte un animal au sein d’une association, celui-ci est vacciné, identifié et stérilisé (en fonction de son âge, lorsque l’animal est plus jeune, il est fourni un document permettant de réaliser ces opérations dès que ce sera possible. Certes, cela représente un coût, mais il en va se sa santé et de sa sécurité.
Pour conclure
Je suis heureuse d’être la « maman d’adoption » de ma douce Gribouille, qui m’accompagne chaque jour, en restant non loin de moi dans mes activités de rédaction. Elle m’aide aussi à avoir un rythme plus calme et posé, en m’imposant malgré elle des pauses (repas, câlins, repos…) ce qui m’apporte une sérénité dont j’avais besoin.
Sa présence me rassure, et inversement. Elle a son petit caractère bien trempé, avec des moments de jeu qui me prêtent à rire, des moments plus réconfortants qui m’aident lors des moments plus difficiles.
Une démarche d’adoption est un acte responsable. Un animal n’est pas une peluche, que l’on abandonne pour un motif qui m’apparaît comme suspect. Bien sûr, certains événements de la vie ne permettent pas de rester avec son animal, cela s’entend.
Et toi, possèdes-tu un compagnon, ou peut-être plusieurs ? Quelle est ta relation avec lui ?
J’attends de lire tes réponses dans les commentaires ou via mes différents réseaux sociaux.
Merci pour ta lecture et à très bientôt pour un prochain article 😉
Très joli retour d’expérience!!!
Merci Matthieu !
Mon chat, ma Lola, c’est ma fille. Et quand je pars loin d’elle plusieurs jours, c’est assez compliqué…
Je te comprends. Je n’ai laissé Gribouille seule que des journées entières… j’ai droit à une belle séance câlins à mon retour.
Merci pour cet article d’intérêt public. J’ai moi-même une grande complicité avec ma lapine. Tu as raison, il ne faut pas humaniser l’animal à outrance mais c’est un membre de la famille dont on est responsable. Et il montre souvent une grande gratitude. Au plaisir de te relire !
Merci ❤❤