Mon expérience à la Paris Games Week partie 1 : visite du salon !

Hello cher lecteur,

Après quelques jours d’attente, voici (enfin) mon ressenti à la suite de ma semaine intense à la Paris Games Week, qui fêtait sa 10ème édition ! Ces 6 jours sur le salon le plus grand de France, est l’un des rendez-vous incontournable où tout gamer doit se rendre, au moins une fois dans sa vie !!

Je tiens à préciser que ma visite a été auto-financée et que je n’ai bénéficié d’aucun passe-droit pour accéder aux différents espaces que constituaient cette manifestation…

Je vais donc revenir sur mon vécu, qui risque de te surprendre, et crois moi, les émotions étaient bel et bien présentes. Rien que d’écrire cet article, j’en ai des frissons et cela ne fait que prolonger ces précieux instants.

Le voyage pour m’y rendre a été effectué en BlablaBus, soit environ 5 heures 30 (hors bouchons à l’entrée du périphérique parisien) et à peine arrivée, je me suis rendue à la soirée presse de l’événement (merci à l’association Loisirs Numériques, où je suis bénévole pour l’accès). Une soirée de lancement qui offre la possibilité de découvrir en avant-première les différents espaces que constituaient le salon qui s’étend sur 80 000 m².

Par la suite, je reviendrai sur mes émotions, sans tout divulguer car je tiens à garder certains souvenirs privés. Ceci fera l’objet d’un second article.

Avant de commencer, quelques chiffres :

Je te propose donc de me suivre à travers ses allées. Attache bien tes baskets, elles risquent d’être mises à rude épreuve !

Commençons si tu le veux bien par le Hall 1, divisé en plusieurs sous-espaces.

Les constructeurs et éditeurs de jeux vidéo !

Tout d’abord Playstation, qui représentait une surface plus que conséquente, et qui invitait les joueurs à découvrir les prochaines exclusivités à venir pour les prochains jours et mois. Tout d’abord, le très attendu Death Stranding, déjà disponible. C’est pour moi mon tout premier jeu signé Hideo Kojima. Je partagerai un retour d’expérience quand j’en aurai un aperçu suffisamment conséquent ! Seulement les trailers déjà diffusés étaient offerts aux joueurs, et l’attente pour les re-regarder était impressionnante ! Le moment clé étant la visite de Kojima san sur le salon pour une conférence suivie d’une session photo avec les fans, d’une durée d’une heure. Je n’ai pas eu la chance de poser avec ce Maître du monde vidéoludique, mais c’était magique d’assister à ce moment !

Toujours sur ce même lieu, Final Fantasy VII Remake conviait les plus afficionados de la saga, que je ne connais que trop peu pour concrétiser un éventuel achat… un stand photo permettait aussi de se mettre dans la peau de personnages phare de cette même saga ! Patience jusqu’au 3 mars 2020.

Un autre jeu était présenté et jouable, Marvel Avengers, qui sera lui disponible le 15 mai 2020. Ce stand était accompagnée d’une exposition de costumes de différents personnages de cet univers de super-héros. N’étant pour ma part qu’une novice dans cet univers, je ne pense pas que je céderai à la tentation sur ce titre.

Parmi les autres jeux présentés dans un espace plus fermé étaient montré Dreams, que j’attends avec impatience la sortie de sa version complète, qui n’a, à ce jour, pas encore à ce jour de date de sortie !

Un espace dont j’ai pu profiter, à mon grand enthousiasme, est celui consacré à Life is Strange 2 (je te laisse comprendre pourquoi dans ma dernière publication Confidences). Une reconstitution plus que fidèle de la chambre de Sean Diaz, l’un des personnages principaux de cette seconde saison. J’ai eu la chance de pouvoir savourer cette visite avant la foule des grands jours sur le salon !

D’autres jeux étaient proposés, mais je ne les ai pas tous vus, de quoi te laisser songer aux possibles expériences disponibles…

Continuons notre tour d’horizon de ce qui nous attendait avec l’espace Ubisoft, qui lui aussi était plutôt conséquent ! Parmi les jeux présentés, Watch Dogs Legion. Annoncé pour le 6 mars 2020, ce troisième épisode de la saga, qui sont tous différents, et celui-ci se déroule à Londres. Les fonctionnalités de base sont les mêmes que celles proposées dans les jeux précédents, avec certaines améliorations.

Parmi les licences cultes du studio français, Just Dance est sans conteste celle qui aura marqué chacun d’entre nous. Cette année avec l’édition 2020, qui est disponible dans toutes les bonnes boutiques, nous célébrons les 10 ans de cette licence qui a bercé et bercera encore de nombreuses soirées. J’ai découvert sur le tard, et si j’avais davantage d’espace disponible chez moi, je passerais des heures sur ce jeu, qui, à ma grande surprise, m’a donné envie de me mettre à la danse. Et c’est notamment grâce à Dina, notre vice-championne du monde que j’ai pris goût à ces chorégraphies, même si certaines demandent un temps d’entraînement relativement important pour les maîtriser ! Mais le principal, est aussi de partager des moments fun, non ?

Ubisoft a également proposé aux amateurs de ses jeux, une soirée, l’Ubisoft Experience, qui a eu lieu le jeudi 31 octobre, celle-ci fera l’objet d’un article dédié, car j’ai des choses à dire sur cet événement.

Reprenons un peu notre souffle et direction maintenant l’espace Bandai Namco et parmi les jeux les plus attendus, je citerai Cyberpunk 2077 du studio CD Projekt Red (qui a réalisé entre autres la série The Witcher). Attendu pour le 16 avril 2020, ce RPG est plus que prometteur. J’ai eu l’occasion d’assister aux 45 minutes de gameplay qui nous permettait de s’imprégner de l’ambiance fût un moment bien sympathique… bien que je ne craquerai pas sur le titre (qui demande un nombre considérable d’heures de jeu pour être complété), je suis admirative du travail accompli par le studio polonais.

D’autres jeux étaient disponibles pour des tests, dont les futurs jeux Dragon Ball, One Piece ou autre One Punch Man. Je n’ai pu mettre les mains sur une manette pour les tester, je reste donc neutre quant à un éventuel ressenti…

Tout va bien ? Tu me suis toujours ?? J’avoue, la visite d’un tel salon demande un peu d’énergie…

C’est maintenant sur le stand Xbox que nous nous rendons. A la veille de l’arrivée de la next-gen ce stand tout de vert vêtu était cependant relativement pauvre en expériences nouvelles, parmi lesquelles du Doom Eternal, du Sea of Thieves étaient jouables.

Mieux que des mots, voici quelques statistiques sur la #XboxPGW (infographie réalisée par Xbox France, et mise à disposition de toutes et tous).

A noter l’arrivée du GamePass Challenge, qui est une très belle initiative, que je développerai d’avantage plus tard.

Changement d’univers, pour un éditeur et fabricant historique, Nintendo. La firme japonaise ne cesse de nous surprendre et d’innover, comme en témoigne la sortie récente de la Nintendo Switch Lite (je possède chez moi une Nintendo Switch classique, ce qui explique que je n’en ai pas parlé sur le blog).

Quelques jeux disponibles pour le public : Luigi’s Mansion 3, Mario Kart 8 Deluxe… mais aussi Mario et Sonic aux Jeux Olympiques (les prochains JO auront lieu l’année prochaine à Tokyo) avec la possibilité de jouer à nos 2 protagonistes dans leur version 2D, ce qui m’attire particulièrement ! Disponible depuis quelques jours, je pense le prendre, quand j’aurai un peu plus de temps à lui consacrer.

Ce qui m’a frappé en flânant dans les allées du salon, à chacun de mes passages devant cet espace, c’est que les files d’attente étaient impressionnantes, pourtant les jeux proposés n’étaient pas nécessairement des plus attendus. Preuve du succès plus que jamais indéniable de la firme japonaise dans le cœur des joueurs. Pour moi qui ai grandi du côté bleu de la force quand j’étais enfant, c’est agréable de voir la pérennité de Nintendo.

Un autre stand d’un distributeur de jeu vidéo était plus discret, mais non moins présent. Koch Media est chargé de nous proposer des jeux divers et variés. Je retiendrai les sessions endiablées entre copains sur Let’s Sing, un jeu, comme son titre l’indique, de karaoké. L’édition 2020 est annoncée pour le 15 novembre prochain, et j’hésite à me le procurer, ne serait-ce que pour pousser un peu la chansonnette, de temps à autre. Les jeux de ce genre n’étant pas légion, c’est également le moyen de passer d’agréables moments entre copains.

2K Games était également présent et je n’ai vu que WWE Entertainment, jeu de catch inspiré du même univers. N’étant pas une adepte, je n’ai pas plus que ça pris le temps d’observer le jeu.

Une autre zone m’a beaucoup attirée, et je regrette de n’avoir pu y passer davantage de temps, Les Jeux Made in France. Comme tu auras pu le comprendre au fil de mes articles précédents, mais aussi sur mes prochains contenus, je suis très friande de jeux français et en particulier de jeux indépendants.

Parmi eux, A Plague Tale: Innocence, du studio bordelais Asobo Studios. J’avais craqué sur ses graphismes à l’issue d’une découverte de son univers en 2017, et depuis, j’ai suivi son développement. Ce jeu est un chef d’oeuvre vidéoludique, pour moi l’une de mes meilleures expériences jamais vécues. Ajoute à cela une bande originale composée par Olivier Derivière dont je suis admirative du travail, et tu obtiens un cocktail qui m’a beaucoup séduit.

D’autres jeux que je connaissais étaient accessibles, comme Noara, du studio marseillais Atypique. Je l’ai découvert en 2017 lors de la Gamers Assembly, et je tente là aussi de suivre l’avancée du développement. Aucune date de sortie n’a pour le moment été annoncée pour ce jeu qui est pour moi, très prometteur.

Pour ce qu’il en est de ce stand, Focus Interactive était présent avec ses licences récemment sorties, comme Greedfall, jeu du studio parisien Spiders. J’avais eu l’opportunité d’assister à une masterclass de Jehanne Rousseau, manager du studio et de découvrir par la suite quelques artworks du jeu lors du festival nantais Les Utopiales que j’avais présenté sur mon précédent blog. Cette année, l’édition ayant eu lieu en même temps que la PGW, je ne pourrai te donner un aperçu de ce que tu pouvais y découvrir !

Plusieurs autres jeux indés étaient aussi présentés, mais je n’ai pu en approcher aucun, tellement les bornes de tests avaient du succès. J’espère que cela se concrétisera en achats, pour que notre scène vidéoludique nationale soit mise en valeur !

Voici ce qu’il en est pour la partie jeux vidéo de ce grand Hall 1.

Des écoles et centres de formation étaient conviés pour présenter les cursus disponibles aux futurs étudiants ou aux personnes désirant s’orienter sur cette voie en pleine expansion.

Le Stream était lui aussi présent sur ce même hall. Je ne consacre pas encore assez de temps aux programmes diffusés sur cette chaîne Twitch mais leur diversité et les animateurs présents me donnent envie de m’y intéresser davantage. Je pense que cela viendra au courant des prochaines semaines. J’ai pu rencontrer certains d’entre eux et ce qui rayonne dans leurs propos sont la passion et le fun !

Game One était également présente, et je n’ai même pas eu le temps de m’y rendre (oui, 6 jours ne sont pas suffisants pour tout voir…)

Un stand plutôt étrange car vide (ou presque) a intrigué de nombreux visiteurs, moi la première !! Shadow, qui propose des services de cloud computing a trouvé l’idée originale de faire scanner un QR code qui permettait de découvrir ses différentes offres… Ingénieux, n’est-ce pas ? Pour ce qu’il en est du service, je l’avais testé l’année dernière, et si je pouvais, je souscrirais bien, au vu des caractéristiques offertes.

Je fais l’impasse des stands commerciaux, présents dans tous les salons… et qui ne seront, au final, que peu intéressants pour toi. Entre boutiques de goodies et matériel informatique, tu avais de quoi trouver ton bonheur 😉

Nous quittons (enfin !) le Hall 1 pour monter à l’étage et le Hall 2.

Le découpage des espaces était moins important que le Hall 1 mais permettait toutefois de poursuivre nos découvertes en tout genre.

Une partie était ouverte aux professionnels du jeu vidéo, au travers de la Game Connection Europe, où des conférences étaient proposées. N’ayant pas eu d’accès à cet espace cette année, je ne peux donc te proposer de résumer de ce qui était au programme… Peut-être l’année prochaine ? Wait and see…

Un grand espace intitulé Paris Games Week Junior, était destiné aux familles, et différents stands y étaient installés. Tout ceci, dans le but de sensibiliser à certaines thématiques qui, selon moi, paraissent importantes d’être représentées sur un tel event.

Handigamers, une association qui a pour but de promouvoir le jeu vidéo auprès des personnes en situation de handicap (en tout genre, aussi bien visible ou invisible), s’ouvrait au public. De rencontres avec des joueuses et joueurs (mention spéciale à Amelitha qui a remportéé avec brio le tournoi Street Fighter V) à des tests des manettes adaptées spécialement conçues par HitClick, jeune entreprise créée par David et Théo.

Des jeux étaient aussi disponibles, tels Dragonium. Ce jeu, découvert lui aussi à l’occasion de ma visite à la Gamers Assembly en 2017. Ce RPG jouable sur navigateur a la particularité d’être accessible aux personnes déficientes visuelles. Son créateur a en effet retranscrit l’intégralité des maps du jeu en braille (langue destinée aux déficients visuels), et ce, totalement gratuitement !Une initiative à saluer et à soutenir 🙂

Un espace dédié au CEA (Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives) était également accessible, à tous les publics, jeunes ou moins jeunes, qu’ils soient débutants ou plus avancés en jeu vidéo. Leur création, Le Prisonnier Quantique, a pour but de vulgariser la science au travers d’enquêtes, de casse-tête, tout ceci sous un regard ludique. Disponible gratuitement et jouable sur navigateur, chacun peut y accéder et y jouer en famille. Ici encore, une belle idée à soutenir ! Je compte y revenir une fois que j’aurai découvert ce qui nous y attend.

Des espaces avec des consoles étaient également proposés ici aussi, et le MO5, association de sensibilisation à la conservation du jeu vidéo a exposé de nombreuses consoles auxquelles bon nombre d’entre nous ont pu découvrir au fil des années. Leur collection est vraiment impressionnante et ici aussi, je trouve que l’initiative est remarquable.

Une autre exposition, dans un registre complètement différent cette fois, a retenu mon attention. Il s’agit d’Artitude, un regroupement d’artistes qui collaborent pour présenter au public leurs différentes créations. J’ai manqué de craquer à de multiples reprises, mais la crainte du manque d’espace m’en a dissuadé… pour le moment !

Il était également possible de faire personnaliser un sac, un t-shirt ou tout autre objet ! Sans surprise, j’ai fait décorer mon sac … d’un Sonic (ma mascotte d’enfance) ! C’est grâce à Skorp Drawings, artiste plus que talentueux rencontré à Nantes sur le festival Nantes Accor Games Week où j’étais bénévole l’été dernier, que cet ornement a été réalisé. Merci encore 🙂

La Paris Games Week proposait elle aussi des souvenirs de notre passage sur le salon. Différents goodies étaient vendus, et j’ai craqué sur un tshirt souvenir de cette 10ème édition, illustré par le collectif Artitude dont je te parle dans le paragraphe précédent.

Voici la visite du Hall 2 terminée ! Toujours là ?? Nous arrivons à la fin de notre périple dans le salon, avec cette fois-ci… le Hall 3 ! (étonnant ?)

Ce Hall 3 était en grande partie dédié à l’esport ! Outre les traditionnelles boutiques de matériel informatique (qui, il faut le reconnaître, m’ont fait de l’œil…) Twitch proposait un stand dédié aux streamers… seulement, il m’a semblé que je le trouvais fermé sur l’extérieur, difficile donc de voir ce qu’il s’y passait ! Dommage !

La plus grande scène était dédiée à l’ESWC (ESport World Convention) ! Mon regard s’est tout d’abord dirigé sur la scène EVA, un jeu Rainbox Six-like qui se joue en … réalité virtuelle ! Le tout sur une surface de quelque 50 m². Quelques sessions ont été animées par Adyboo, caster Overwatch et membre de la joyeuse équipe des Brocasters.

Les jeux présentés étaient variés, de Overwatch à Fortnite, chacun pouvait alors y trouver son compte sur les différentes scènes.

Passons désormais au dernier espace sur lequel je souhaite te convier à me suivre. Celui-ci, beaucoup plus chill, le Nemco Club, est géré par l’association Nemco Show, où Guillaume, son président s’occupe de récupérer des consoles (en état de fonctionnement ou non) pour les exposer. Un carré VIP était également à disposition des invités présents sur le salon… ou presque ! Je remercie Guillaume de m’avoir considérée comme VIP et ainsi avoir la possibilité de me poser quelques instants dans le canapé disponible 🙂 Une borne photo était aussi mise à disposition pour prendre quelques instantanés en souvenir de la Paris Games Week !

C’est ici que s’achève notre aventure au travers des allées du salon !! Tu peux donc te reposer, reprendre quelques précieux points de mana en attendant l’année prochaine, la Paris Games Week célébrera alors son 11ème anniversaire ! Et avec l’arrivée imminente de la prochaine génération de consoles, nous allons vivre quelque chose de magique !

Certains espaces n’ont volontairement pas été présentés, j’en ai oublié certainement, tout ceci dans une envie de te donner envie de rendre une petite visite sur le salon, mais aussi de te donner un bel aperçu déjà conséquent de ce que tu pouvais trouver sur place.

Je te souhaite d’avance une belle fin de journée/soirée !

A très vite sur le blog !!

4 commentaires sur “Mon expérience à la Paris Games Week partie 1 : visite du salon !

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    1. Merci beaucoup à toi de l’avoir lu !

      Oui, un sacré périple, aussi bien physique sur place qu’à écrire (avec passion, comme toujours) 😉

      A très bientôt sur le blog !

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